Byron Katie vidéo : Les relations amoureuses

Le rôle du Travail de Byron Katie dans les relations amoureuses



”N'est-ce pas incroyable d'être capable de démêler nos pensées, de les comprendre et de vivre une légèreté authentique ?”
nous demande Byron Katie dans cette vidéo dans laquelle elle répond à diverses questions sur le rôle du Travail dans les relations amoureuses

Voici les points forts de cette vidéo

Quelques citations
“Si je suis dans une relation avec quelqu'un, je dois aimer ce que je pense et ce que je crois à son sujet avant de pouvoir aimer la personne”.
“Personne n’a à changer pour moi”.
”Tant que je n'aime pas Stephen, mon Travail n'est pas terminé parce que tant que je n'aime pas Stephen, je ne peux pas me mettre en lien avec le reste du monde.”

Une Explication
Qu’est-ce que Katie entend par : “Jamais deux personnes ne se sont rencontrées” ?

Une bonne question
“Si j'ai besoin de l'amour de Steven, alors quel est le manque en moi que j'ai soit disant besoin qu'il comble ?”

Sa définition de l’amour
Le lien, le lien, le lien.

Un conseil
Quant aux gens qui cherchent un compagnon, je leur dis juste que c'est inutile.
Ce n'est même pas la peine de chercher…. (et le pourquoi 😀).

Une feuille de Travail complète
Exemple d’une feuille de Travail “Jugez votre prochain” que pourrait remplir une personne célibataire à la recherche de l’âme soeur : “1. Je suis triste parce que je n’ai pas de compagnon”..


Transcription de la vidéo

Andréa : Merci. Merci beaucoup, Katie, de te joindre à moi aujourd'hui. Tu as eu un impact considérable sur ma vie. J'ai participé à l'Ecole trois fois et à la "Cleanse" du Nouvel An, je suis membre de l'Institut pour le Travail et c'est une expérience qui change la vie.

Katie : J'adore le fait que tu l'aies trouvé. N'est-ce pas incroyable d'être capable de démêler nos pensées, de les comprendre et de vivre une légèreté authentique ?

Andréa: Oui, absolument.Et c'était si profond pour moi que je n'ai cessé de le transmettre depuis.

Katie : C'est magnifique. C'est comme si on ne pouvait pas s'en empêcher. 

Andréa : C'est vrai. Je voulais que les gens trouvent la paix et la clarté que j'ai acquises en faisant ce Travail.

Katie : Oui. 

Andréa : Donc j'ai pu aider des femmes et des hommes dans leurs relations et les aider à s'unir dans leurs relations.

Katie : C'est si beau.

Andréa : Alors, je voulais te demander. L'un de tes livres les plus profonds est "J'ai besoin que tu m'aimes. Est-ce vrai ?" Et je voulais juste entendre tes pensées sur les relations et comment tu penses pouvoir les rendre plus harmonieuses quand des personnes s'unissent.

Katie : Aimer quelqu'un...Si je suis dans une relation avec quelqu'un, je dois aimer ce que je crois à son sujet. Pas seulement y penser, mais je dois aimer ce que je pense et ce que je crois à son sujet avant de pouvoir l'aimer. Parce que les gens sont... Ils ne sont jamais plus ou moins que ce qu'on croit qu'ils sont.Donc si je ne t'aime pas ou si je ne me sens pas en lien avec toi ou si tu ne comptes pas pour moi, je dois aller voir ce qui se passe dans mon propre mental.Et ça, c'est une excellente nouvelle. Cela signifie que plutôt que d'essayer de changer notre relation ou de changer l'autre, on "fait le Travail", comme on dit, toi et moi, tout simplement. En clair, on identifie ce qu'on croit à propos de la personne dans notre relation. 

On identifie les pensées que l'on pense et que l'on croit à son sujet et on les remet en question et à l'issue de cela, on a un compagnon différent. On a un conjoint totalement différent de celui contre lequel on était en colère. Par exemple, si j'ai la pensée que Stephen, mon mari, a tort, comment est-ce que je réagis quand je crois qu'il a tort ? Je vais alors essayer de le faire changer d'avis. Et s'il ne change pas d'avis, cela signifie qu'il n'en a rien à faire de moi. Cela signifie que nous sommes séparés. Mais qui serais-je sans la pensée "il a tort" ? J'écouterais son idée dans notre discussion, j'écouterais pour comprendre comment il voit les choses. Donc j'ai mon idée, il a la sienne. Je suis en lien et je n'ai pas à lui enseigner ce qui est bien ou mal comme s'il avait trois ou quatre ans. Aussi, je découvre qui il est vraiment. Donc s'il y a séparation dans mon couple, en d'autres termes, si je ne me sens pas en lien avec Stephen, alors je me penche sur ce que je crois au sujet de Stephen, et non sur Stephen. Et à chaque fois que ça arrive, je suis en lien, nous avons une relation incroyable et je continue à évoluer parce qu'à chaque fois que je pense qu'il a tort, j'ai beaucoup à apprendre. J'en viens à voir que la plupart du temps, ou très souvent, il avait raison. Et c'est ainsi que j'évolue. C'est donc pour moi la meilleure des nouvelles possibles. Personne n'a à changer pour moi. Je remets juste en question ce que je crois à propos d'une personne et alors son identité dans mon monde à moi change complètement, et la mienne aussi. 

Andréa : Est-ce que c'est lié à ce que tu as dit, dans mon souvenir : "Jamais deux personnes ne se sont jamais rencontrées".

Katie : Oui, exactement. C'est exactement ce que je pense.En fait, je ne sais pas qui est Steven.Steven est celui que je crois qu'il est. J'appelle cela "connaitre Stephen". Mais est-ce que je sais qui il est ? Vraiment ? Qui est-il au delà de ce que je pense qu'il est ? Et cela me laisse très respectueuse et très ouverte alors qu'il continue à m'apprendre, au cours de notre relation, je continue à évoluer et je l'apprécie énormément.

Andréa : Pourrais-tu nous en dire plus, Katie, sur "J'ai besoin que tu m'aimes ? Est-ce vrai ?" Tu as quelque chose à nous partager à ce sujet ?

Katie : Eh bien, si j'ai besoin de l'amour de Steven, alors quel est le manque en moi que j'ai soit disant besoin qu'il comble ? Et comment je peux... C'est comme si je devais l'utiliser lui pour être comblée moi. Il y a co-dépendance dans ce cas.S'il me dit, par exemple : "Je suis trop occupé pour t'aider, Katie", si je me sens mal aimée, alors je vais lui en vouloir. Mais s'il dit : "je ne peux pas t'aider, je suis trop occupée, Katie", dans ma vie à moi, comme j'ai un mental qui a été remis en question, je suis tout simplement ravie. Ça veut juste dire qu'il existe un autre moyen. C'est comme un grand mystère. Il m'appartient de trouver la réponse. Je sais qu'elle est toujours là.Donc je n'ai pas à chercher bien loin. Je m'ouvre à cela et la réponse apparait. Mais quand j'ai besoin de l'amour de quelqu'un, ça peut vraiment mal tourner quand je considère que la personne ne m'aime pas ou n'en a rien à faire de moi. Je tiens à dire que les feuilles de Travail "Jugez votre prochain" sont gratuites sur thework.com et tout le monde peut aller sur ton site web et probablement les y trouver aussi. Et donc, dans mon cas, je l'utiliserais pour recueillir toutes mes pensées et mes jugements sur mon mari. Admettons que nous nous soyons disputés, Je reviendrais à cette situation mentalement et je m'ancrerais juste dans cette dispute pour identifier ce que je pensais et croyais à ce moment-là,et j'écrirais ces pensées sur la feuille de Travail "Jugez votre prochain". Cette feuille de travail est un guide. Cela nous aide à surmonter l'argument. Elle est très facile à remplir avec des phrases très courtes et simples et ensuite je remettrais en question ce que je croyais à son sujet. Et ça améliore notre relation.

Andréa : Ouais. Et est-ce que tu partages ce que tu as écrit sur ta feuille de Travail "Jugez votre prochain" avec ton conjoint ou est-ce que vous faites le Travail ensemble dessus ?

Katie : Eh bien, s'il est ouvert à ça et que c'est le bon moment pour lui, alors...En fait, ma préférence serait qu'il en rédige une sur moi. Et les deux manières de faire me vont. Mais j'aime... Quand quelqu'un se dispute avec nous, si on écoute vraiment, on apprend tellement de choses sur la personne avec laquelle il vit. Et ce n'est pas forcément qui on est. Je veux dire, qui Stephen croit que je suis et qui je suis ne correspondent pas toujours.

Andréa : Oui, de toute façon,

Katie : S'il était ouvert à cette idée, j'écrirais une feuille de Travail "Jugez votre prochain" sur lui et il pourrait m'accompagner dans mon investigation.

Andréa :Super !

Katie : Ouais. Et ça, c'est vraiment ce qui tue l'ego. Et ça fait tellement de bien. Mais si j'écris une feuille de Travail sur lui, et qu'il écrit une feuille de Travail sur moi, alors c'est tout aussi puissant. Cela dépend si ton conjoint est ouvert à ça. C'est pour ça que j'hésite. Et on ne sait jamais si la personne y est ouverte ou pas. Mais si je pense que ça pourrait le blesser, alors je le fais seule. Je fais juste ma propre feuille de Travail, j'appelle un facilitateur ou je le fais moi-même, seule en silence. Tant que je n'aime pas Stephen, mon Travail n'est pas terminé.Parce que tant que je n'aime pas Stephen, je ne peux pas me mettre en lien avec le reste du monde. Et si je ne peux pas me mettre en lien avec le reste du monde, j'ai la possibilité de faire une feuille de Travail sur le reste du monde et alors je pourrais aimer Stephen.

Andréa : Alors comment définirais-tu l'amour, Katie ?

Katie : Le lien. - Le lien. - Le lien, le lien. Lors de ma promenade ce matin, j'ai prêté attention à mon mental. Il parle de ceci et de cela et de telle ou telle personne. Et tout cela est tellement beau que ça m'a poussé à remercier tout le monde d'être avec moi, sur instagram. Parce qu'en marchant seul, on emporte le monde entier avec soi dans sa tête. Et puisque j'aime la façon dont je pense à ces gens, dans ma tête, mon cœur est ouvert et je suis en lien avec tout le monde et tout ce qui existe. Comment ne pas être reconnaissante du fait que le monde entier vive à l'intérieur de soi ? Et si on n'aime pas toutes les personnes auxquelles on pense, alors on n'aime pas être en silence parce qu'il y a un champ de bataille là-dedans. C'est pourquoi ce Travail est si puissant.Le mental commence à se mettre en lien avec lui-même. Le mental met fin à la guerre avec lui-même lorsqu'il se comprend. L'investigation est donc très importante. Au final, on doit faire face à soi-même. Et c'est ce que ce Travail peut apporter : l'investigation.

Andréa : Oui. Alors comment cela se traduit-il pour ceux qui sont célibataires et à la recherche d'une relation ? 

Katie : Eh bien, j'ai une certaine expérience en la matière.

Andréa : Oui.

Katie : Avant de rencontrer Steven, je n'avais pas même l'idée de vouloir quelqu'un dans ma vie parce que j'étais tellement proche de moi-même. C'est comme si j'avais déjà un compagnon, c'était moi et les gens que je côtoyais, peu importe qui c'était. Et je voyageais beaucoup à l'époque, j'étais très rarement chez moi. Mon domicile était un bureau à Manhattan Beach, ici en Californie. Je rencontrais beaucoup de gens et je n'ai pas eu besoin d'un compagnon parce que j'étais heureuse, mon compagnon, c'était tout et tout le monde. En d'autres termes, j'étais en lien. C'était donc l'homme ou la femme dans la rue, une fleur, un arbre, le cri d'un enfant.Et puis quand j'ai rencontré Steven, c'était tellement clair pour lui qu'il était mon compagnon, qu'il voulait être avec moi. C'était si clair pour lui. Moi je l'ai simplement écouté encore et encore et j'ai pensé, eh bien, moi, j'aime être avec moi-même, je comprends que lui aussi aime être avec moi. C'est évident, tout le monde aimerait être avec moi s'ils me connaissaient vraiment. C'est ce qui se passe dans cette tête-là, ça me paraissait logique.Et donc quand il m'a demandé de l'épouser, je n'avais aucune raison de ne pas le faire.Pas une seule raison valable. Il était gentil. Il est très intelligent. C'est sa gentillesse qui revient en tête. Il a un mental si gentil. Cela va au-delà du corps physique et pour vos téléspectateurs, j'aime que les gens comprennent que même un corps physique n'est que ce qu'on croit qu'il est. Par exemple : "il est trop grand, trop petit, trop gros, trop maigre".
Et ainsi de suite. Mais si on remet en question cela, il nous reste à savoir ... Quand on emménage ensemble...Disons que tu rencontres quelqu'un,et que vous emménagez ensemble. Tu ne regardes pas son corps très souvent. Je veux dire, même si tu le vois tout le temps et que ton mental dit : "ce corps est très agréable ou sexy", dès la première fois que tu penseras "il n'en a rien à faire de moi", "il n'est pas sincère quand il le dit". C'est parce que le mental va tout simplement démolir le mental de l'autre. Et si on n'aime pas ce que l'on pense, on ne peut pas rester en lien avec son compagnon. C'est donc non son mental à lui mais bien le tien dont tu dois t'occuper si tu veux vraiment rester en lien avec ton compagnon.Quant aux gens qui cherchent un compagnon, je leur dis juste dire que c'est inutile. Ce n'est même pas la peine de chercher. Il est impossible de ne pas avoir de relation. On regarde le corps d'une personne et on pense : "non, pas celui-ci, ni celui-là non plus". J'étais comme ça avant que le Travail ne me trouve  et j'avais toutes les bonnes raisons au monde, juste en regardant quelqu'un. Il suffisait que la personne rit ou s'il avait une certaine expression de visage et moi je pensais "oh, c'est sexy !" ou "comme il est séduisant !" Mais mon mental fabriquait toute une histoire sur cette pauvre personne que je n'avais jamais rencontré.

Andréa : Oui.

Katie : Et si je croyais cette histoire, je restais toujours sur ma faim. Mais nous vivons jour après jour avec quelque chose qui va au-delà du corps. "Tu veux bien m'aider à faire la vaisselle, ma chérie ?" "Non, ce n'est pas mon tour." Ça c'est le mental qui dit "non, je ne veux pas faire la vaisselle". Mais le mien est tel que je me dis : "C'est génial, il va me laisser la vaisselle à faire. Il n'y a rien de mieux dans la vie". Parce que si je ne suis pas à mon propre service, et si c'est moi qui veux que la cuisine soit nettoyée, je lui demande de le faire. Mais s'il n'est pas d'accord, alors ça me donne l'occasion d'être à mon propre service. Et s'il apprécie la cuisine propre, c'est encore mieux. 

Participante : Donc pour quelqu'un qui est célibataire et qui veut être dans une relation, Est-ce que tu leur dirais de mettre toutes leurs pensées par écrit sur une feuille de Travail "Jugez votre prochain" ?

Katie : Oui, absolument. Je commencerais par "je suis triste parce que je n'ai pas de compagnon". Dans la première partie de la feuille de travail "Jugez votre prochain", et dans la deuxième partie de la feuille de Travail "Jugez votre prochain", je mettrais "je veux un compagnon". 

Andréa: Oui.

Katie : Je veux que quelqu'un m'adore. Je veux vivre avec quelqu'un de gentil. Et dans la partie suivante sur la feuille de Travail "Jugez votre prochain" qui traite des conseils, je mettrais "Je devrais avoir un compagnon". "Je devrais avoir quelqu'un de gentil dans ma vie." Et dans la partie suivante, "pour que je sois heureuse, j'ai besoin d'un compagnon". "J'ai besoin de quelqu'un avec qui avoir des enfants." "J'ai besoin de quelqu'un qui m'aime et m'apprécie." On peut mettre tout ce qui nous vient sur cette feuille de Travail. Dans la partie suivante, la partie 5 de la feuille de Travail "Jugez votre prochain", "Je suis seule, je ne suis pas aimée." "Je n'ai personne pour prendre soin de moi." "Je ne vais pas bien sans personne dans ma vie". "Je n'aurai jamais d'enfants" et "je ne serai jamais heureuse." Tout ce qui surgit à ce moment-là. Puis, dans la dernière partie, "je suis disposée à être triste" "je ne veux pas vivre ma vie sans compagnon." Oui, voilà ce que je ferais. Et pour ceux d'entre vous qui découvrent seulement ce Travail et qui écoutez cela, prenez ces concepts qui figurent sur la feuille de Travail, ces jugements que vous avez notés et remettez-les en question. La première question est : "est-ce vrai que vous voulez un compagnon ?" - Est-ce vrai ? - Oui. Et la deuxième question est : "êtes-vous sûre de vouloir un compagnon ?" "Pouvez-vous absolument savoir que c'est vrai ?" Contemplez votre vie. Vous le voulez vraiment ?  Est-ce vrai ? Et puis la troisième question, (il n'y en a que quatre) : remarquez comment vous réagissez, ce qui se passe, ce qui vous arrive et comment est votre vie quand vous croyez la pensée que vous voulez un compagnon. Remarquez ce qui se passe sur le plan émotionnel et recueillez-vous dans cela et contemplez comment vous vivez votre vie quand vous croyez cela. Et la dernière question : "qui seriez-vous ?" Et la dernière question : "qui seriez-vous ?" Regardez votre vie sans la pensée "Je veux un compagnon". Comment serait votre vie sans la pensée ?  Si elle n'était pas là ? Remarquez simplement la liberté que cela vous donne et l'absence de contraintes. Puis observez-vous avec la pensée "Je veux un compagnon". Puis sans la penser. Et enfin, bien sûr, on retourne la pensée : "je veux un compagnon", une fois retournée donne "Je ne veux pas de compagnon" puis on se recueille profondément. Dans le Travail, on médite sur ces jugements. Alors "je ne veux pas de compagnon". Qu'est-ce que cela signifie pour moi ? "Je ne veux pas de partenaire." Ah oui, il va monopoliser la télécommande de la télé, et puis... et cette liste pourrait vraiment s'allonger. Quand on se penche là-dessus on commence à remarquer quelle vie merveilleuse on a et à quel point on est autonome. Et on se sent vraiment reconnaissant pour ce qu'on a, avec ou sans compagnon. Ca nous appartient. Et c'est ce que j'aime dans l'investigation. Car on devient vraiment conscient de soi-même, on réalise qui on est. On réalise qui on est par soi-même et pour soi-même et on rencontre alors un être humain extraordinaire. Et n'importe qui au monde pourrait me dire "Katie, tu ne vaux rien" et moi je penserais : "C'est incroyable la façon dont cette personne me voit, elle ne me connait pas", mais mon estime de moi ne baisserait pas, pas même un tout petit peu. Parce que je suis éveillée, j'ai fait mon Travail. Si quelqu'un me dit, "Katie, il y a quelque chose qui ne va vraiment pas chez toi", ça éveille ma curiosité. Comme j'ai fait mon Travail, je ne dis pas, "en fait, il y a quelque chose qui ne va pas chez toi, et tu m'as blessée" et "oh, il y a quelque chose qui ne va pas chez moi". Il n'y a aucun moyen de réagir ainsi quand on a réalisé par soi-même qui on est. Cela va au-delà de la taille, de la forme ou la religion ou la couleur de la peau ou l'obésité ou la minceur. C'est au-delà de tout. Quand on se connaît soi-même, on tombe amoureux. Et personne ne peut vous enlever ça. Et ça, c'est le pouvoir que nous avons tous. C'est le pouvoir de... Nous avons tous entendu l'expression "connais-toi toi-même". Eh bien le Travail nous invite à ça. "Connais-toi toi-même pour toi-même." Ne vous laissez pas berner par ce que le monde croit ou ce que vous croyez vous.

Andréa : Oui

Katie : il suffit de le remettre en question. Remettez-le en question. Remettez-la en question, tout simplement.

Andréa : Eh bien, merci beaucoup, Katie, de passer ce temps avec moi. Ça a été vraiment merveilleux.

Katie : Andrea, c'est avec grand plaisir. Je reviens au Royaume-Uni cet été, et on se reverra.

Andréa : Fantastique. Merci encore une fois. Bye bye.

Katie : Je t'aime. Au revoir, mon coeur.

Pour aller plus loin...


Les ouvrages de Byron Katie

Je te recommande la lecture du livre de Byron Katie "J'ai besoin que tu m'aimes. Est-ce vrai" dont la nouvelle traduction sortira au printemps 2023.

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